J’avais traversé le pays de l’eau, toujours à la recherche d’indices pouvant m’aider dans ma quête. L’érauteur m’avais laissé sans la moindre indication à la fin de mon entrainement avec maître Wong… j’avais donc erré dans le continent sans avoir les moindres prémonitions ou intuitions. J’avais donc décidé de continué mon périple dans le Pays Du feu… Après quelques jours de marches, j’étais enfin arrivé dans un petit village, j’entrai épuisé de ma longue marche, je n’avais pas mangé et bus si peux depuis mon départ que je m’effondrai sur la place publique, je fus recueillit par un fermier. Je me réveillai dans l’après midi de mon évanouissement, avec sa femme ils me nourrirent comme leur propre fils. Et un jour, avant de partir de nouveau pour sa quête, je lui demandai :
Merci de m’avoir accueillit chez vous, mais j’ai encore une petite question, vous allez me prendre pour un fou mais avez-vous déjà entendu des rumeurs particulières ?
Il me répondit qu’il y a longtemps, disait une légende, un homme était venu et s’était venté d’avoir rencontré une Déesse. Mais le vieil Homme me confirma que l’homme en question était réputé pour être un fou. Je le remerciai encore.
Il est peut être fou mais c’est la seule piste que j’ai pour le moment et je vais la suivre.
Je parcourus donc une bonne partie du territoire du Feu, sans arriver à trouver le moindre temple, indice ou autre preuve prouvant l’existence de ces fameux êtres supérieurs. Je commençais à perdre espoir.
Cet érauteur a dut se moquer de moi, sa ne peux pas exister des êtres si puissant, et mon pseudo pouvoir est surement source de mon imagination.
Je décidai donc de me pauser dans ce champ face à la mer et d’admirer le coucher de soleil. Le ciel tourna du bleu au rouge par toutes les variantes de l’arc en ciel, tout comme la mer par reflet du ciel. Le spectacle était magnifique, mais la nuit finis par tomber et je sentis un frisson me courir le long du dos. Je décidai donc de faire un feu pour réchauffer un peu l’ambiance mais finis rapidement par m’endormir.
Cette nuit fut très mouvementé, pour la première fois depuis que j’étais petit je fis un rêve, une jeune femme était enfermée dans une prison avec pour seule lumière un ridicule bougie, et un fenêtre donnant sur la mer comme signe de torture, elle appelais à l’aide en vain pour que l’on vienne la délivrer. Je me réveillais en sursaut le lendemain, avec une image d’une tour au milieu de nulle part.
Enfin un signe, c’est pas trop tôt !
Je passai donc ma journée à chercher cette tour, mais en vain quand soudain, je décidai de monter à la cime d’un arbre pour avoir une vue panoramique de la zone, je distinguai enfin cette minuscule tour caché dans l’horizon. Il me fallut une grosse heure pour y arriver, j’avais apparemment eut recourt à mon pouvoir car j’avais eut l’impression de voler, et ainsi me de ma déplacer très vite. Arrivé au pied de la tour je ne pus que constater que le paysage était vide, j’ouvris donc l’unique porte de la tour.
Pourvus que ce rêve ne soit pas une conner**
La porte émis un son strident qui résonna dans l’escalier en colimaçons montant, probablement au sommet de la tour. J’empruntai ainsi ce chemin pour parvenir à une nouvelle porte, celle-ci fermé par un énorme cadenas. Je dégainai le sabre de mon père et fracassais un coup très lourd l’objet qui bloquais l’ouverture de la porte, je l’ouvris enfin, il faisait très sombre dans la pièce, je découvris la fenêtre donnant la vue sur la mer. Mais soudain une douleur très vive se fit sentir sur mon épaule droite, à l’endroit même où était apparut ce mystérieux tatouage lors de mon dix huitième anniversaires. Je posai la main dessus tout en sortant une allumette pour éclairer la chambre.
Je suis au bon endroit tout est pareil que dans mon rêve.
Soudain je tournai mon visage pour voir le reste de la pièce, et j’aperçu une jeune femme, elle était très pâle, enchaînée au mur par de lourdes chaines, elle paraissait épuisée, exténuée comme par l’attente d’une arrivée inespérée. Je ressortis mon sabre et brisa les chaînes qui la retenaient, elle devait être épuisée car même avec tout ce bruit, la jeune femme ne se réveillait pas. Je la mis délicatement sur mon dos et redescendis l’escalier pour sortir de ce trou à rats.
Je cherchai un endroit tranquille avec de l’herbe pour pouvoir la déposer dans un endroit sympa, celui-ci trouvé, j’allumai un feu et partis chercher un peu de viande pour le diné. Je revins avec 2 lapins et des baies. A mon retour, la jeune femme était réveillée et me regarda arriver avec mes prises de guerre. Je luis souris et dis :
Je m’appelle Cloud Strife, je viens du pays de l’eau, j’ai rêvé de vous cette nuit et vous ai cherché toute la journée, vous voulez manger ?
Sans attendre sa réponse, je fis cuir les deux lapins à la broche, lors de cette opération, je remontai mon tee-shirt, laissant apparaitre mon tatouage non désiré, en le voyant la jeune femme sursauta et fis les yeux ronds. Le soleil commençait à tomber dans la mer et je lui dis :
Je ne sais pas comment il est arrivé ici celui-là, mais au fait quel est votre nom ?
J’avais cette étrange impression d’être relié à cette femme dont je ne connaissais rien, mais attendis sa réponse en surveillant la viande.
Cloud.