Solitary Symphony
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 Max Den'Wild Alias La Faucheuse

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Max Den'Wild
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Max Den'Wild


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MessageSujet: Max Den'Wild Alias La Faucheuse   Max Den'Wild Alias La Faucheuse Icon_minitimeSam 12 Juil - 17:19

Nom : Den’wild est le nom par lequel elle fut nommée dès sa naissance, le fait étant qu’il est à présent oublié par beaucoup ce qui n’est pas involontaire. Prête à tout pour se faire oublier, elle fit en sorte que les fichiers parlant d’elle un tant soit peu disparaissent. A ce jour il ne reste que très peu d’informations à son sujet voir carrément pas, ceci étant, il n’est pas non plus impossible d’en trouver et malgré tous ses efforts, les gens la connaissant, quoique rares, finissent toujours par répondre son identité…
Prénom : Maxima est le prénom par lequel elle fut appelée mais il faut au moins savoir une chose. Pour une raison floue et inconnue d’un bon nombre de gens, elle se fait appelée Max depuis déjà plusieurs années. A la seule prononciation de son prénom complet, il n’est pas rare de la voir entrer dans une rage effroyable ce qui la rend momentanément incontrôlable et cela se termine souvent dans un bain de sang terrifiant. Cela survint peu de fois car son prénom demeure un mystère pour de nombreuses personnes et que dans les registres elle ne figure que sous son surnom pourtant quelques rares personnes se sont risqués à le prononcer…et ne sont plus là pour réitérer pareille bêtise.
Surnom : Le plus banal de ses deux surnoms n’est autre que Max dont elle ce sert également comme prénom depuis voilà plusieurs années. En dehors de cela, son surnom non officiel et qui en fait trembler plus d’un n’est autre que celui de La Faucheuse. Ainsi surnommée et loin d’être un surnom banal et mystificateur il s’agit d’une réalité véritable. En effet chaque proie désignée par un employeur n’en sortit jamais vivant et toute personne l’ayant ne serait-ce qu’entraperçue et qui sont aujourd’hui encore en vie la décrivent comme l’incarnation même de la Mort. La Faucheuse est connue à travers le monde non sans raison, l’éclat rougeoyant de ses yeux ne fait que renforcer cette impression d’avoir la mort en face de soit.
Age et date de naissance : Agée d’environ vingt et un ans, peut-être plus, peut-être moins, le fait étant que cela reste un mystère pour beaucoup de gens. Son calme la fait souvent passer pour une personne plus âgée qu’elle ne l’est, pourtant son physique ne prête pas à confusion : elle est belle et bien jeune. Née lors d’un mercredi treize Juillet d’une année oubliée…
Sexe et sexualité : Nul doute qu’elle appartienne à la gente féminine, sa voix seule le laisse deviner, d’un coup d’œil on le sait, lorsqu’elle pose les yeux sur nous on en est persuadé et prêt à s’en damner. Quant à sa sexualité…cela reste un mystère total du moins aux yeux des uns et des autres néanmoins quelques personnes savent…Max est hétérosexuelle…

Famille : Il y a longtemps que la jeune fille n’a plus de famille, pour quelle raison ? Son père était un homme alcoolique adorant se défouler sur ses propres enfants mais également sur sa femme. Sa mère était une femme qui se laissait faire et qui se réfugiait elle aussi dans l’alcool sans pour autant passer par la maltraitance. Son grand frère était rarement là et pour le peu qu’elle l’ai vu, elle le considère comme un parfait étranger. En dehors de cela elle a une petite sœur qu’elle a toujours protégé contre la violence de son père mais qui a finit par périr. En cela, elle a tué ses géniteurs, ne restant de sa famille que son grand frère qu’elle n’a ni connu ni retrouvé faute de le chercher.
Métier : Compagne d’ l’obscurité et amante des ténèbres, Max est une personne qui tue pour l’argent et sur demande, qu’importe qui lui demande de tuer et qui est la victime, insensible aux regrets et aux remords, elle ne s’arrête en aucun cas jusqu’à la mort de sa cible. Homme, femme et enfant y passent tous sans qu’aucune hésitation ne vienne troubler son comportement. En d’autre terme l’on pourrait appeler sa profession Assassin.
Armes : Une imposante épée accompagne la jeune femme. Grande d’environ un mètre cinquante, elle est un peu plus petite que celle qui la possède mais pas de beaucoup. Généralement portée dans le dos, il s’agit d’une arme redoutable au tranchant aiguisé au possible. Souvent attachée dans le dos de la jeune femme, elle pèse son poids ce qui rend son maniement incroyable de la part d’une jeune femme d’apparence aussi frêle. La lame est marquée d’un dragon courant tout le long de cette dernière, démarrant de la base de la lame et finissant un peu avant la pointe, l’on retrouve le même symbole des deux côtés, gravés de telle sorte que lorsque le sang vient à couler sur l’arme, le liquide s’y glisse et forme un dessin écarlate d’une beauté époustouflante. La garde est une représentation d’ailes que l’on pourrait qualifier de démoniaque mais qui n’est rien d’autre qu’une paire d’aile de dragon pour suivre la gravure de la lame, à cela s’ajoute le pommeau qui, en plus d’assurer une prise confortable et ferme, est marquée par une tête de dragon façonnée d’une magnifique façon. La gueule ouverte, l’on pourrait jurer qu’il s’apprête à cracher les feux de l’enfer…

Hobbies : Dessiner est un hobbies dont elle ne peut se passer tout autant que lire. Ces deux passions lui permettent de s’évader du monde actuel et de s’enfoncer dans une existence qui lui plaît. A part cet effet, dessiner et lire l’aident à se calmer et à retrouver le calme intérieur qui est le sien avant un meurtre. A part ces deux choses là, la musique est une chose indispensable à la jeune femme, capable de jouer du piano, de la guitare, du violon et bien d’autres instruments grâce à un entraînement assidus, elle s’évade grâce à cette pratique et écouter de la musique l’apaise au point de lui faire oublier ses soucis, son passé et bien d’autre chose encore.
Aime : Il est difficile de dire ce qu’aime Max, en dehors de ses passions qui résument tout ce qu’elle aime, l’on peut ajouter quelques rares choses comme le calme, l’immobilité tant qu’elle est volontaire. La nature et les quelques bruits qui l’accompagnent sont comme une douce berceuse à son oreille capable de l’endormir aussi sûrement que les chants d’une mère. Elle aime également les animaux et leur élégance fascinante, ce qui concerne la nature, la vraie, elle l’aime qu’importe ce qu’il s’agit bien que marcher dans un excréments ne la réjouisse pas, il y a une limite à tout naturellement. Elle aime passer son temps à lever les yeux vers le ciel et à le regarder, que ce soit de jour comme de nuit, pour elle peut importe tant que rien ne vient la perturber ou ne l’empêche de voir ce ciel infini qui la passionne tant et l’intrigue.
Déteste : Dans ce qu’elle déteste se trouve indéniablement les tomates, incapable d’en manger et ne supportant pas la simple odeur de ce légume pourtant naturel, elle refuse d’en manger depuis sa plus tendre enfance et depuis qu’elle est capable de former une phrase cohérente. Ce légume suscite chez elle un dégoût évident qui peut la rendre irritable lorsque quelqu’un tente de l’obliger à en manger. Malgré son dégoût, il faut savoir qu’elle ne rechigne pas à manger de la sauce tomate ou une soupe à la tomate, tant qu’il n’y a pas de morceau ou de pulpe tout va bien. Elle déteste également tout ce qui est immobilité forcée, certes elle aime rester tranquillement sans bouger sur un toit mais dès lors que c’est quelqu’un qui la retient, qui l’empêche de bouger, il est alors impossible d’apaiser sa colère sauf dans la mort : ses tortionnaires se retrouvent alors devant deux choix : la mort ou la fuite, tout en sachant que la seconde solution mène de toute manière à la première. Elle déteste qu’on la contre dise lorsqu’elle affirme quelque chose ou dit la vérité, en réalité il y a énormément de chose qu’elle n’apprécie pas…une affreuse différence avec ce qu’elle aime. Il faut ajouter à cela le fait qu’elle déteste qu’on l’appel par son prénom en entier, mais il ne s’agit là pas qu’une affaire de goût : c’est quelque chose de sérieux qui peut mener à la mort aussi sûrement qu’un plongeon dans le vide sans aucune chance de s’en tirer, c’est la dernière chose à faire si l’on veut rester en vie…et la première si l’on veut mourir.
Compagnon : Un aigle royal au plumage d’un noir de jais soyeux et doux au touché. D’une envergure d’à peu près deux mètres vingt, il mesure près de quatre vingt huit centimètres de long, fidèle oiseau qui survole généralement l’endroit où se trouve sa maîtresse, il est difficile de l’apercevoir avant qu’il ne daigne se montrer. Uniquement sociable avec Max, il est affectueux et déteste voir la jeune femme dans des situations délicates et fera tout pour l’aider dans la mesure de ses moyens. A celui-ci s’est ajouté récemment l’acquisition incroyable d’une petite panthère des neiges à peine sevrée, son pelage d’un blanc immaculé uniquement perturbé par quelques tâches noires, elle est douce mais timide, refusant d’approcher qui que ce soit d’autre que sa douce et chère maîtresse. En effet il est surprenant de remarquer à quel point Max peut se montrer tendre avec ses compagnons…L’aigle se prénomme Dark tandis que la petite peluche sur patte n’est autre que Kari.

Sa plus grande phobie : Le mot peur en lui-même ne semble pouvoir s’associer à la jeune femme qu’est Max, capable de sauter dans le vide sans craindre un arrêt brutal, capable de se jeter à corps perdu dans un combat perdu d’avance, il semblerait qu’il soit impossible qu’elle puisse posséder une quelconque crainte. Mais elle n’échappe pas à la règle, comme tout à chacun elle possède bien une phobie. En effet Max a peur d’abandonner, non pas d’être abandonnée mais plutôt d’abandonner un camarade, c’est quelque chose de complexe mais il faut connaître son histoire pour comprendre.
Son plus grand désir : Son désir le plus grand est aussi difficile à discerner que sa peur la plus profonde, difficilement approchable voir carrément impossible à approcher, Max semble désirer au plus profond d’elle-même d’avoir des proches ou plutôt une vie approximativement normale, un tant soit peu, avoir des amis, une famille. La famille lui étant refusée, elle aimerait avoir quelques amis mais elle ne se laisse pas approcher c’est pourquoi cela lui semble impossible à réaliser, bien malgré elle.
Son point faible : Max a une faiblesse relativement importante au niveau de l’épaule droite, en effet depuis sa naissance elle semble faible à cet endroit de son anatomie. Il s’agit d’une faiblesse qui n’est pas non plus extrême, un coup sur son épaule droite la fera plus souffrir qu’un coup sur l’autre épaule, une traction trop importante sur son épaule fragilisée pourrait la lui briser. Tant qu’il ne s’agit pas d’effort trop important son épaule résistera mais c’est tout de même un point faible qui l’ennui particulièrement. En dehors de son épaule, c’est son côté droit qui représente un point faible important : elle porte une cicatrice à cet endroit, elle marque deux côtes cassées qui n’ont pas encore finies de se ressouder malgré le temps et qui ne se ressouderont jamais probablement.
Son point fort : Sa force physique est son point fort le plus probable. En effet malgré son apparence fragile, elle possède une force impressionnante pour son apparence qui ne le laisse pas penser aux premiers abords.

Village : Pays du feu

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Max Den'Wild
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MessageSujet: Re: Max Den'Wild Alias La Faucheuse   Max Den'Wild Alias La Faucheuse Icon_minitimeSam 12 Juil - 17:19

Physique : Qui peut croire un instant que l’ombre put avoir une fiancée ou, au moins, une personne aussi proche d’elle dans son apparence ? Personne avant d’avoir vu Max ne peut penser un seul instant qu’une beauté pareille puisse être aussi froide et distance que cela. Des cheveux d’un noir profond et brillante glissent le long de ses épaules comme une l’eau ténébreuse d’une cascade infernale, glissant le long de son dos pour atteindre le creux de ses reins, ils sont lisses et soyeux et d’une taille irrégulière. En effet il y a des mèches d’un peu près toutes les tailles, c’est pourquoi il n’est pas étonnant que de nombreuses mèches glissent devant ses yeux ou sur le côté de son visage, voilant la plupart du temps son regard.
Ce dernier est aussi étonnant que la personne à qui il appartient. D’un rouge écarlate surprenant qui refroidis généralement les gens croisant ce dernier, il exprime à la fois indifférence et vide. En effet ses yeux se fixent rarement sur un objet et lorsqu’ils le font, il n’est pas rare que l’on ai l’impression qu’ils passent à travers soit comme si nous n’existions pas devant ses yeux. Peu de personne peuvent prétendre avoir vu son regard se fixer réellement sur eux, accompagné d’intérêt ou quoique ce soit d’autre. Seule ses victime, ses cibles, ont put voir ce à quoi ressemble le regard de Max lorsqu’il se pose réellement sur quelque chose : il est emplit de tristesse, de remords et de regrets, une fois que l’on a vu cela on est sûr et certain de deux choses : tout d’abord qu’elle regrette un nombre incalculable de chose et ensuite que ce n’est pas vers notre mort prochaine que se dirige ces regrets et ces remords, elle se fiche de ce qui peut nous arriver. Sa peau est relativement pâle, blanche sans pour autant paraître blême ou livide, disons une teinte approximativement normale, douce et délicate, sa peau porte quelques stigmates des combats passés représentés par des cicatrices parcourant son dos. Bien que très peu, l’une d’elle est aisément remarquable puisqu’elle barre son flanc droit d’une ligne blanche, cicatrice qui lui cause encore quelques souffrances dû à une côte cassée toujours pas ressoudée après tout ce temps.
Souvent vêtue d’un corset blanc dévoilant une poitrine bien développée et qui, pour la plupart du temps, lui attire une nouvelle fois quelques ennuis qu’elle se dépêche de régler sans plus de cérémonie. L’habit s’arrête au niveau de la cicatrice qui lui barre le flanc et dévoile un abdomen musclé sans pour autant que cela ne soit dans l’exagéré. A la suite de cela on retrouve un pantalon de cuir noir la serrant de toute part et accompagnant chacun de ses mouvements sans la gêner, comme une seconde peau qui lui plaît bien il faut l’avouer. Ses chausses sont en réalités d’imposantes bottes dont le bout est renforcé par une coque résistante faite d’une plaque de métal résistante à tous les chocs. Ces bottes remontent jusqu’à la moitié de ses tibias et les parent d’atouts dangereux et sanglants en cas de combat. En effet quelques pieds parcourent la languette et ressortent par delà le pantalon de cuir. Ce sont des bottes cloutées pesant leur poids, conformément à leur apparence il faut le dire, malgré ce poids elles restent généralement utile lors d’assauts silencieux puisqu’elles ne font aucun bruit qu’importe l’endroit où elle s’aventure. A cette panoplie autant sensuelle que ténébreuse vous pouvez rajouter une longue veste de cuir noir également qui descend jusqu’à ses chevilles. Souvent ouverte, elle laisse dévoiler les armes qu’elle possède sur elle et son abdomen dévoilé. Dans son dos se trouve Hérésie, son épée, son arme et sa fidèle compagne, attachée dans son dos d’une manière presque incompréhensible, elle repose dans un fourreau élégant qui représente une sorte d’entrelacs de ronce dont le fourreau semble être réellement pourvu…
L’expression la plus commune sur son visage n’est autre que de l’indifférence, l’impression que l’on ressent lorsqu’on la voit n’est autre qu’une impression de vide comme si elle errait sans but particulier ce qui est probablement le cas…
Signes particuliers : Elle a un tatouage dans le bas de son dos réalisé à l’encre noir qui représente un dragon entrelacé avec des ronces, il se situe au creux de ses reins. A cela s’ajoute ses yeux d’un rouge flamboyant peu commun et qui est probablement unique en son genre. Max est loin d’être tout à fait normale, tout en elle clame la particularité mais si l’on veut encore ajouter quelque chose, elle possède une cicatrice sur le flanc droit juste en dessous de son corset, à la limite de celui-ci.
Mental : La première chose qui vient à l’esprit en la voyant n’est autre qu’un calme, un calme surprenant cependant ce n’est pas vraiment du calme mais plutôt une sorte d’inactivité, une manière d’arborer une sorte de vide. Enfin c’est l’apparence primaire, en effet Max est quelqu’un qui apparaît comme une personne désintéressée et totalement vide autant intérieurement qu’extérieurement mais tout cela est faux, d’une fausseté désobligeante qui induit en erreur quiconque croit trouver en face de lui une personne fragile et facile d’accès en cas d’attaque. Quelle erreur pitoyable. Alerte et réfléchit, Max analyse souvent ce qui l’entoure mais agira à première vue comme une personne désintéressée et avec une lenteur exagérée, si on l’interpelle elle se retournera sans plus, pas de geste superflus. Juste une attitude de calme, calme et rien d’autre que cela. Il lui arrivera de sourire mais cela restera rare et probablement unique en son genre puisque cela n’est arrivé que durant son enfance et cessa du jour au lendemain mise à part quelques rares occasions. Méthodique et calculatrice, Max est une personne qui préférera prévoir ses coups à l’avance, à la minute près mais en cela il ne faut pas croire qu’il s’agisse de son point faible et qu’il suffit de perturber un quelconque facteur pour l’induire en erreur : il en faudra plus que cela. En effet, si elle aime bien créer un plan d’action avant d’agir, elle sait également réagir en cas d’imprévu quelconque et se montrer aussi redoutable qu’en temps normal. L’improvisation est également un de ses points forts. Pour le reste de sa personnalité je vous laisse le découvrir à vos aises.
Autres : Elle porte autour du cou, une chaîne en argent dont le pendentif reste invisible car dissimulé sous son corset.

Histoire :

J’étais roulée en boule sous ma couverture, je tremble, j’ai peur mais je sais qu’il faut que je sorte sinon Elle se fera tuer. Poussant un gémissement de douleur je me tire de mes draps et, titubant, je descends les escaliers qui mène au salon, là où se trouve mon père, avachis sur sa chaise, grognant quelques imprécations incohérentes à l’adresse de sa femme et de ses enfants. Elle est assise en face de lui, la tête basse, elle triture son t-shirt, elle ne sait pas quoi dire et je la retrouve comme je l’ai toujours vue : une enfant fragile, frêle, prête à se briser en mille morceaux si jamais on la serrait trop fort contre soit. C’est pour elle que je me bats, pour sa survie que j’encaisse les coups de la vie, mais peu m’importe, je suis heureuse de la voir encore en vie car chaque jour qui passe est un heureux cadeau. Un cadeau empoisonné, certes, mais un cadeau tout de même et puis elle était mon antidote contre la mort, contre la souffrance et contre cette personne infâme qu’était notre père. Descendant les dernières marches d’une démarche mal assurée, je rejoins une chaise à côté de celle de ma sœur, le dos voûté, la mine défaite et les cheveux en bataille. Mon débardeur blanc n’est plus que l’ombre de lui-même, tâché de sang et de salissure, il est irrécupérable et troué en de nombreux endroits mais c’est un peu pour ça que je le mets : je ne veux pas abîmer mes autres habits. J’ai un hématome sur le côté de mon visage, marque sensible du coup d’hier, aujourd’hui encore je craints un nouvel éclat et je vois dans les yeux de mon père qu’il ne tardera pas. Je guette le moment où il surviendra, prête à bondir pour m’interposer, prête à pousser ma sœur pour la mettre hors de portée, j’ai trop peur pour elle et ma mère est incapable de faire quelque chose. Depuis longtemps elle a cessé de se battre pour ses enfants, maintenant c’est nous qui nous battons pour elle d’une certaine façon même si ce n’est pas vraiment me battre que je fais mais plutôt me faire battre. Il a beau être vieux, il frappe fort et dur, j’aurais put en être fière si c’était sur quelqu’un d’autre qu’il frappait, si ce n’était pas sur sa famille qu’il se défoulait.

On attendait, la tension montait pendant qu’on patientait, dans l’attente d’un éclat qui semblait ne pas vouloir survenir, qui semblait vouloir miner notre résistance mentale avant de briser celle du physique. Puis la crise survint, violente et soudaine, presque insoupçonnée, au moment même où mes muscles commençaient à se décontracter. D’un coup de point sur la table, il l’envoya voler plus loin et s’approcha de ma petite sœur. Pourquoi elle ? Peut-être parce qu’il avait conscience que je supporterais tout et qu’elle, elle était plus fragile et qu’elle succomberait aux premiers assauts. Comme d’habitude je me suis dressée entre eux, je savais qu’aujourd’hui serait différent mais je m’en fiche, je préfère mourir plutôt que laisser ma petite sœur périre sous mes yeux et par ma faute, à cause de mon absence ou que sais-je encore. D’un mouvement brusque du bras, une bouteille d’alcool dans la main, il me frappe sur le côté droit, je sens le verre se briser sous l’impacte au même titre que quelques côtes qui cédèrent, fragilisées par les coups de la veille. Le coup me jette à terre et le verre m’a profondément entaillé le côté, une plaie profonde et impressionnante qui laisse couler un flot de sang. Ce n’est pas ce qui va m’arrêter. D’un mouvement ralentit par la souffrance, je me redresse, un sourire aux lèvres. Il a horreur qu’on lui tienne tête et c’est ce que je fais depuis que je suis petite, depuis que je suis en mesure de comprendre ce qui se passe. De nouveau il se dirige vers moi et, comme d’habitude, la soirée fut longue…

Cela dur depuis longtemps mais cela cessa du jour au lendemain. Je rentrais à la maison en courant, j’avais peur, je craignais que le pire ne soit arrivé. J’étais partie pour l’école et normalement ma petite sœur et moi on finissait à la même heure. Pas aujourd’hui. Selon les professeurs c’est notre père qui est venu la chercher, et là j’ai compris que si je ne me dépêchais pas il serait trop tard, je savais bien qu’après une heure cela l’était peut-être déjà mais je ne voulais pas y penser, ma vie sans elle ce serait le vide, l’idée même m’effrayait, me terrorisait au point de rendre folle de désespoir. La vie n’a pas de goût si elle n’est pas avec moi. J’ouvre la porte d’un bloc et j’entre en courant, essoufflée et ce que je craignais était survenu : le sol d’ordinaire marron à cause du parquet brillait à présent d’un liquide écarlate qui maculait également les murs. Ma petite sœur gisait dans le fond de la pièce, sur le côté et me tournant le dos, ses cheveux blonds étaient tachés de sang, de l’or ils étaient passés au rouge et le silence régnait, ne restait plus que les borborygmes incompréhensibles de mon père avachis sur une chaise. Désemparée, je me dirigeais vers ma sœur, ma petite sœur, ma raison de vivre et mon soleil. Ma raison semblait s’être envoler avec elle et ma vie aussi, j’étais anéantie. Je portais encore les stigmates de mon côté déchiré et je ne pouvais pas faire de sport à cause de la douleur mais une chose était sûre : lorsque je me suis levée, lorsque j’ai empoigné le couteau de cuisine puis que j’ai martelé de coup mon père, la douleur n’existait plus, ne restant qu’une folie meurtrière qui ne s’apaiserait pas avant qu’il ne soit mort. Je plantais mon couteau, le retirais de cette viande sanguinolente, le replantais avec une joie perverse, je riais, d’un rire psychotique qui ne pouvait s’arrêter, comme en opposition de ce rire, je pleurais, des torrents de larmes roulaient sur mes joues. Je ne m’arrêterais pas avant qu’il ne soit mort, le fait qu’il ne bougeait plus je m’en fichais, je frappais, je frappais encore, et là où il n’y avait pas de plaie je frappais pour qu’il n’y ai pas un seul espace libre de sang, je voulais qu’il comprenne, je voulais qu’il souffre. J’étais maculée de sang, mais je m’en fichais, je frappais, frappais, frappais encore, je déchirais sa chair, je brisais ses os à grands coups de couteaux et lorsque ma mère voulut m’arrêter je l’égorgeais puis je recommençais jusqu’à ce que mes bras me fassent mal, jusqu’à ce que je sois dans l’incapacité de les relever et là encore je l’injuriais, je lui hurlais des injures, je crachais des malédictions, des promesses de mort, je lui jurais que si jamais il revenais je le tuerais à nouveau. Malgré ma faiblesse je serrais fort dans ma main le couteau dont la lame brillait d’un rouge écarlate qui me faisait sourire, un sourire pervers et sadique, un sourire qui ne s’effaça que lorsque mon regard se posa sur ma petite sœur. Je me suis traînée jusqu’à elle et je la serrais dans mes bras, me berçant d’avant en arrière comme si elle était endormie, je voulais y croire, je voulais qu’elle se réveille et qu’elle me saute au cou en riant ou même en pleurant, je m’en fichais, je ne voulais pas être seule. Elle murmura mon nom, doucement, un simple souffle.

- Maxima...

Doucement, elle se crispa dans mes bras mais j'étais heureuse : elle n'était pas morte ! Mon coeur qui me semblait mort se mit à battre follement dans ma poitrine, puis elle murmura une nouvelle fois mon nom, encore une fois. Ainsi jusqu'à ce qu'elle ne le souffle une dernière fois, les yeux clos, elle se crispa une nouvelle fois puis hurla mon nom, un hurlement déchirant qui fit de mon coeur un amas de cendre confus, une souffrance sans nom qui m'étreignait le coeur, j'avais mal, si mal, tellement mal que cela en devenait insupportable. C'est ainsi que ma petite soeur, ma raison de vivre, cessa de vivre, logée dans mes bras comme elle aimait l'être la nuit lorsqu'elle avait peur des fantômes qui, pourtant, n'existaient pas. Blottie contre moi, le visage serein malgré la souffrance qu'avait été la sienne durant toutes ses années, j'aurais put croire qu'elle dormait mais ce n'était pas le cas, je ne le savais que trop bien. C’était sa présence qui m’avait permis de ne pas sombrer dans la folie mais voilà, âgée de dix ans j’avais tué ma mère en l’égorgeant avec indifférence, avec pour seule pensée le fait qu’elle se dressait entre moi et l’objet de ma haine, à dix ans j’avais fais de mon père une loque sanguinolente, à dix ans je pataugeais dans le sang sans que cela ne me fasse éprouver une quelconque frayeur, j’étais comme dans mon élément. Je saignais depuis mon enfance, depuis que j’étais une gamine je saignais, les cicatrices en attestent…et mon côté crachais de nouveau des filets de sang. La rage et la folie passée, la souffrance me revenais, retentissait à mes oreilles comme un cœur…Je le déteste, je le maudis, je le hais et je le tuerais autant de fois que je le pourrais.
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Max Den'Wild
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MessageSujet: Re: Max Den'Wild Alias La Faucheuse   Max Den'Wild Alias La Faucheuse Icon_minitimeSam 12 Juil - 17:20

Ce jour là je suis partie, un sac sur le dos, le couteau qui m’avait permis de tuer mon père dans la poche de ma veste. J’arborais un pantalon neuf et un t-shirt noir ainsi qu’une veste afin de dissimuler la brillance de mon côté qui luisait à cause du sang qui imbibais mon haut mais je poursuivais ma route, je marchais, marchais encore. Jusqu’à m’écrouler dans une ruelle insalubre mais, une fois encore, je m’en fichais, je n’avais plus de raison de vivre, la nourriture n’aurait plus de goût dans ma bouche et n’assouvirais plus ma faim, l’eau ne me desséchais plus, je me fichais de tout, de la vie, des autres, de ce qui m’entourais, je voulais juste La revoir, une fois, au moins une fois…

Lorsque j’ai ouvert les yeux, je me suis retrouvée dans une pièce chaude mais cette chaleur ne me faisais rien, je ne ressentais aucun bien être, pas de malaise non plus, juste de l’indifférence, qu’il fasse chaud ou froid je n’en avais cure. Je suis restée allongée là, sans bouger, le regard fixé sur le plafond de la pièce où je me trouvais. Je sentais le bandage autour de mon côté qui faisait en sorte de le maintenir mais je m’en fichais aussi, cela faisait deux ou trois mois que j’avais ces côtes cassées et la douleur était devenue une sorte de compagne éternelle mais elle ne remplacerait jamais ma sœur…mais elle, elle était là au moins, elle ne mourrait pas, elle ne me laisserait pas seule. Un homme entra, me posa des questions auxquelles je ne répondis pas, murée dans mon silence je n’avais pas l’intention d’en sortir, en tout cas pas avant de l’avoir décidé.

Cet homme se nommait David, chaque jour il venait, il s’asseyait à côté de moi et il me parlait, il me donnait à manger, me forçait lorsque je refusais, me donner à boire, s’occupait de ma toilette, moi je restais là, je ne disais rien et lui passait sa journée à me raconter sa vie, à me parler, me confiant ses pensées profondes sans timidités, il m’offrait le moindre de ses secrets sans penser un seul instant que je le trahirais, il se confiait et rien n’aurais pu l’en empêcher. Un an se passa ainsi, je pensais qu’il finirait bien par se lasser mais il me prouva le contraire, il revenait tous les jours, s’occupait de moi chaque jour et prenait mon silence comme réponse à ses questions orales puis un jour je me suis redressée, me suis assise sous son regard stupéfait et lui ai parlé pour la première fois depuis un an, me lever fut mon seul et unique mouvement durant une année :

- Tu vas finir par la fermer, oui ?

Cette offense sembla lui faire plaisir et il me sourit comme jamais il ne m’avait sourit, il me serra dans ses bras et me tira à sa suite jusque dans son jardin, là il m’enseigna tout ce qu’il savait autant sur le point intellectuel que sur le point physique, avec lui j’ai appris à tuer en faisant souffrir, j’ai appris à torturer, j’ai aussi appris à soigner des blessures de façon à optimiser les chances de guérison mais également le temps, j’ai appris à distinguer les plantes et les racines comestibles, j’ai appris à concocter des poisons qui peuvent faire halluciner, ceux qui peuvent faire souffrir, ceux qui peuvent faire mourir rapidement ou lentement, j’en ai appris des choses et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle je suis restée avec lui pendant tout ce temps. Sept ans ce n’est pas rien non plus. Il continuait à bavarder gaiement, je lui répondais quand l’envie me prenais c’est à dire rarement mais au fil du temps j’ai finis par lui adresser la parole au moins une fois par jour, parfois j’engageais des discussions même si c’était rare, j’ai repris un peu goût à la vie même s’il s’agissait pour le moment d’un goût fade voir un peu amère. Au fil du temps l’élève à dépassé le maître et c’est moi qui ai finit par lui faire découvrir pas mal d’aspect de la vie, la plupart du temps involontairement puisque cela me semblait logique. Ce fut lui qui m’offrit mon épée, celle que j’ai aujourd’hui et que j’ai nommé Hérésie. Durant cette sorte d’entraînement j’ai acquis mon premier véritable compagnon : Dark, à cet instant il s’agissait d’un simple œuf, c’était une épreuve que David m’avait faite endurer : vivre pendant un mois en montagne et au terme de ce mois je devais lui ramener un œuf d’aigle royal. Pour cela j’avais du développer des trésors d’ingéniosité et de souplesse pour atteindre un nid et delà, survivre aux assauts redoutables des parents. Mais j’avais réussis et peu de temps plus tard l’œuf s’était craquelé pour dévoiler un oisillon que j’avais nourris moi-même, du bout des lèvres jusque dans son bec déjà bien acéré. Au terme de cette épreuve j’ai quitté celui que j’aurais dû appeler maître et qui, malgré les apparences, c’était fait une place dans mon cœur brisé et consumé par le remord et le regret. Pendant tout ce temps je me fis Max, et non plus Maxima, entendre ce nom me brisais le coeur à nouveau, faisais renaître en mon coeur la rancoeur, la haine, la rage et le désespoir, me rendais si vide que je ne le supportais pas, ce nom je le hais et chaque fois que je l'entends j'ai l'impression d'entendre ma soeur le hurler, le souffler, cela m'est insupportable alors dès que je l'entends je fais tout pour qu'il se taise et je replonge alors dans un mutisme obstiné, j'ai mal, si mal...Elle me manque tellement...

Les quatre ans qui suivirent, je me suis de nouveau enfoncée dans un mutisme total, je voyageais accompagné de Dark, l’aigle venait souvent se loger sur mon épaule. Devenue une assassin, je suis devenu La Faucheuse, je ne sais si mon surnom est parvenu jusqu’à David mais peu m’importe, je suis ce que je suis et maintenant que j’étais loin de lui, je n’avais plus besoin de m’en faire pour sa survie : il saurait parfaitement se débrouiller, n’était-ce pas lui le maître ?

Lors du jour qui aurait dû être mon anniversaire, une date maudite qui restait dans ma tête pour me hanter, me rappeler que ma défunte sœur était née le même jour, quelques minutes après moi, ce jour là j’ai découvert Kari, la boule de poil s’était réfugiée dans un recoin obscure et s’était faite pourchasser par une bande de chien affamé que je me suis fait un plaisir de faire déguerpir, j’ai gardé la petite avec moi et en ai faite ma protégée, peut-être que je réussirais à la protéger, elle, peut-être qu’elle survivrait.

Toujours plongée dans ce silence qui est mien, je lui murmure pourtant des paroles de réconforts, la petite panthère ne parvient à s’endormir que dans mes bras, une fois seule elle est effrayée, j’aime cette boule de poils, j’aime Dark qui vole, libre, au dessus de moi. J’attends avec impatience le jour où je volerais avec lui…

Où as-tu connu le forum ? Par l'admin
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MessageSujet: Re: Max Den'Wild Alias La Faucheuse   Max Den'Wild Alias La Faucheuse Icon_minitimeSam 12 Juil - 17:22

serait bien gentil de suivre le model de presentation ^^
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Max Den'Wild
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Max Den'Wild


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MessageSujet: Re: Max Den'Wild Alias La Faucheuse   Max Den'Wild Alias La Faucheuse Icon_minitimeSam 12 Juil - 17:30

J'ai été autorisé, j'attends l'avis de l'admin principale, si vraiment il faut que je change je changerais, c'est certain.
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Katara Monasaki
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MessageSujet: Re: Max Den'Wild Alias La Faucheuse   Max Den'Wild Alias La Faucheuse Icon_minitimeDim 13 Juil - 22:22

C`est long en plus Oo
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MessageSujet: Re: Max Den'Wild Alias La Faucheuse   Max Den'Wild Alias La Faucheuse Icon_minitimeDim 13 Juil - 22:26

Katara a toi le choix ^^
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Katara Monasaki
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MessageSujet: Re: Max Den'Wild Alias La Faucheuse   Max Den'Wild Alias La Faucheuse Icon_minitimeDim 13 Juil - 22:37

euh.. bien le plus important c`est lire son histoire et son caractaire..
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MessageSujet: Re: Max Den'Wild Alias La Faucheuse   Max Den'Wild Alias La Faucheuse Icon_minitimeDim 13 Juil - 22:41

jsuis occuper moi pour le moment desoler ^^'''
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Genesis Rhapsodos
Démon
Genesis Rhapsodos


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MessageSujet: Re: Max Den'Wild Alias La Faucheuse   Max Den'Wild Alias La Faucheuse Icon_minitimeLun 14 Juil - 7:58

L'histoire est longue et bien écrite.
Le caractère m'a l'air d'être bon.
Personnellement, je pense que c'est ok, maintenant, à vous de voir...
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MessageSujet: Re: Max Den'Wild Alias La Faucheuse   Max Den'Wild Alias La Faucheuse Icon_minitimeLun 14 Juil - 15:45

Allez Validé !
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MessageSujet: Re: Max Den'Wild Alias La Faucheuse   Max Den'Wild Alias La Faucheuse Icon_minitime

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